Une mère afghane poignarde sa fille rentrée trop tard

Un autre cas pour lequel la défense plaide la non-responsabilité criminelle pour troubles mentaux.

Extrait de l’article :

« Dans les jours qui ont précédé les événements, la mère était méconnaissable, allègue l’avocate de l’accusée.

Manque de sommeil, expressions faciales étranges, comportement animal et langage incompréhensible, sur un ton inhabituel, ne sont que quelques exemples. Kaleki a dit à une psychiatre qui l’a évaluée qu’elle entendait la voix de sa fille à travers les murs, alors que celle-ci était absente.

«Elle était incapable de formuler l’intention de tuer sa fille et d’apprécier que ce qu’elle faisait était mauvais», a répété la défense.

L’accusée devrait donc être déclarée non criminellement responsable pour troubles mentaux, soutient Me Schurman. »

Source : Le Journal de Montréal